Répondre aux exigences de la Bonne Gouvernance

Répondre aux exigences de la Bonne Gouvernance

Partager sur :

Facebook
Twitter
LinkedIn

Transparence, Redevabilité et Efficience sont les maitres mots du communiqué rendu public

Le conseil des ministres tenu ce jour 17 Février 2021, sous la présidence effective du Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, a examiné l’avant-projet de loi de règlement 2018 et l’avant-projet de loi de règlement 2019 afin de rendre compte de l’exécution respectivement de la loi n° 2017-014 du 27 décembre 2017 portant loi de finances, gestion 2018 et de la loi n° 2018-020 du 20 novembre 2018 portant loi de finances, gestion 2019.

Ces projets de loi, qui sont des exercices de transparence et de redevabilité, font ressortir des résultats excédentaires pour 2018 et 2019. Ils traduisent les performances économiques remarquables de notre pays malgré un contexte marqué, notamment en 2018, par une crise socio politique.

Le Conseil a attiré l’attention des membres du gouvernement sur une implication plus forte afin d’améliorer les performances en matière d’efficience dans l’exécution des budgets d’investissement.

 A cet effet, le Conseil a écouté une communication relative au Programme d’investissements publics (PIP 2022-2024), présentée par le ministère auprès de la Présidence de la République chargé de la planification du développement et de la coopération.

Face au constat des faiblesses rencontrées dans l’exécution des investissements, il est proposé un renforcement du processus d’élaboration du PIP afin qu’il prenne en compte de manière exhaustive la feuille de route gouvernementale 2020-2025.

Autre sujet examiné en première lecture au cours de ce conseil, un projet de décret portant sur la numérisation des moyens de paiement au sein de l’administration qui est pris en application de la loi relative aux mesures de promotion de la bancarisation et de l’utilisation des moyens de paiement scripturaux. Il vise à promouvoir l’utilisation de moyens électroniques de paiement au sein de l’administration, la bancarisation, l’inclusion financière et la lutte contre la corruption, le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme.