UMOA-Titres en collaboration avec la BCEAO, lance un ensemble de nouveaux instruments dénommés ‘Obligations de Relance’ (ODR 2021).

UMOA-Titres en collaboration avec la BCEAO, lance un ensemble de nouveaux instruments dénommés ‘Obligations de Relance’ (ODR 2021).

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Les Etats pourront émettre pour un montant de 3 768 milliards d’ODR.

Après la réussite du programme des Bons COVID-19 en 2020, reflétant la résilience du Marché des Titres Publics de l’UEMOA et l’engagement des acteurs du marché à accompagner les Etats dans la lutte contre la crise économique et sociale liée à la pandémie de la COVID-19, et dans le but d’accompagner la relance économique, UMOA-Titres en collaboration avec la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) lance un ensemble de nouveaux instruments dénommés ‘Obligations de Relance’ (ODR 2021).
S’appuyant sur le Guichet de la Relance mis en place par la BCEAO pour accompagner les Etats de la zone, dont le Togo, ces instruments sont structurés par UMOA-Titres dans le but de permettre aux Etats membres de l’UMOA de financer leurs plans de relance économique massifs suite à la pandémie.
Les ODR 2021 sont des Obligations Assimilables du Trésor de maturités de 3 ans, 5 ans, 7 ans, 10 ans, 12 ans voir plus, émises en 2021, par voie d’adjudication ouverte avec le concours de UMOA-Titres.
Ces titres sont dématérialisés, tenus en compte courant dans les livres de la BCEAO et bénéficient d’avantages spécifiques pour les investisseurs mais également pour les émetteurs souverains.

En effet, tout au long de l’année 2021, les Etats pourront émettre pour un montant de 3 768 milliards de F CFA d’ODR 2021 éligibles au refinancement auprès de la BCEAO au niveau de ses guichets classiques mais également auprès d’un guichet spécial dit de la Relance où les investisseurs pourront mobiliser de la liquidité au taux minimum de soumission aux guichets de la BCEAO (actuellement 2%) pour une durée de 6 mois renouvelables.

En contrepartie des avantages ci-dessus attribuées aux ODR, les investisseurs participant aux opérations d’adjudication sur les maturités de 3 ans et 5 ans s’astreignent à soumissionner des prix supérieurs à un prix minimum (prix plancher) garantissant aux émetteurs un taux maximum de sortie de ces opérations.