La promotion des partenariats privés, deuxième volet de la coopération nippo-africaine sera au centre des discussions. Tokyo affiche ses priorités en Afrique : diversification de l’économie et industrialisation, soutien à la promotion de systèmes de santé résilient et appui à la stabilité sociale pour une prospérité partagée.
Inspiré par sa propre expérience le pays du soleil levant, sous subvention de la Banque Mondiale jusqu’à 1960, a fait de l’auto-assistance son modèle de développement. Un modèle basé, notamment, sur la formation des ressources humaines avec la méthode Kaisen. Des instituts ont été implantés dans plusieurs pays africains. Mais aller plus loin, comme n’a cessé de répéter le gouvernement nippon, reste synonyme de bonne gouvernance, de transparence, et surtout de viabilité de la dette. Une allusion à peine cachée aux méthodes chinoises de prêts, jugées par Tokyo agressives et contraires aux règlements internationaux.