Le vice-président de cette institution pour l’Afrique de l’Ouest et centrale sera dans notre pays du 27 au 31 octobre 2021
Le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique de l’Ouest et centrale, Ousmane Diagana, effectuera une visite officielle au Togo, dans le cadre du renforcement du partenariat entre la Banque mondiale et les deux pays. C’est la première visite du vice-président depuis sa prise de fonction en juillet 2020.
Au Togo, Monsieur Diagana s’entretiendra avec Son Excellence Monsieur Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République, ainsi qu’avec des membres du gouvernement sur les grandes priorités de développement du pays et sur l’appui de la Banque mondiale pour leur mise en œuvre.
Il s’entretiendra également avec des représentants de la société civile, du secteur privé, et avec des jeunes. Pour apprécier l’évolution de certains des projets financés par la Banque mondiale, le vice-président se rendra sur le terrain pour voir quelques réalisations et échanger avec des bénéficiaires.
Selon un récent rapport de la Banque mondiale, le Togo se devrait d’exploiter davantage le potentiel économique du numérique qui pourrait contribuer à dynamiser le secteur privé et booster sa croissance économique tout en créant un nombre important d’emplois productifs. « Continuer à miser sur l’investissement privé comme levier de relance économique sera crucial pour renforcer la résilience du Togo face aux vulnérabilités économiques et sociales révélées par la crise du coronavirus », souligne Hawa Wagué, représentante résidente de la Banque mondiale pour le Togo.
Après le Togo, le vice-président de la Banque mondiale Monsieur Diagana devrait se rendre au Bénin.
La Banque mondiale est déterminée à soutenir une reprise résiliente dans ses pays membres suite à la crise du COVID-19. Dans le cadre de sa Stratégie régionale pour l’Afrique de l’ouest et centrale, elle vise à aider les pays à établir un nouveau contrat social entre les Etats et les citoyens, œuvrer à plus d’emplois de meilleure qualité, renforcer le capital humain et améliorer la résilience climatique. Le portefeuille de la Banque mondiale pour les 22 pays de la sous-région s’élève à plus de 44 milliards de dollars.